Et si tu arrêtais d’être une victime ?

"Lorsque vous blâmez les autres, vous abandonnez votre pouvoir de changer."

– Robert Antoine


Salut toi !


Aujourd’hui, on va parler d’un mécanisme sournois : le biais de la victimisation.

Oui, toi qui lis ces lignes, tu t’es peut-être déjà retrouvé·e à penser que tout était contre toi, que les autres ou les circonstances te bloquaient. Ce n’est pas pour te juger, loin de là, mais si on n’éclaire pas ce mécanisme, il peut te garder coincé(e)… et devine quoi ? Moi, le burnout, j’adore ça. Mais toi, tu ne veux pas rester là, n’est-ce pas ? Alors viens, on en parle.

Tu vas te faire bousculer en lisant la suite, mais c’est nécessaire que tu passes au delà de cela…


Parce qu’en réalité, ce sentiment de victimisation, ce "tout contre moi", c’est un piège mental. Un réflexe qui, même s’il peut sembler protecteur, te maintient dans une spirale de frustration et d’impuissance. Tu crois que tu maîtrises les situations et ta vie, alors que les choses échappent à ton contrôle, et en vérité, c’est souvent ce sentiment même qui te prive de pouvoir agir pour évoluer.

Tu n’es pas destiné·e à rester là, bloqué·e dans ce cercle vicieux. Et ce n’est pas ton destin, c’est un mécanisme que tu peux transformer.


Alors, laisse-moi t’aider à le comprendre, et surtout, à t’en libérer.

C’est quoi, la victimisation ?

La victimisation, c’est quand tu te convaincs que tu es toujours la victime des situations ou des autres. Un peu comme si tu te disais :

  • "C’est de la faute des autres."
  • "Je ne peux rien y faire."
  • "La vie est injuste avec moi."
  • “Pourquoi ça m’arrive toujours à moi ?”

Et ce truc-là, c’est une distorsion cognitive. Ça veut dire que ton cerveau te joue des tours, il te fait voir la réalité à travers un prisme déformé.

Et crois-moi, plus tu restes là-dedans, plus ça m’alimente, moi, l'Ami Burnout.


D’où ça vient ?

Cela ne t'est pas tombé du ciel, hein. Ça vient souvent de ce que tu as vécu :

  • Peut-être que dans le passé, tu as vraiment été victime de trucs injustes. Ça, c’est réel, et ça laisse des traces.
  • Peut-être que tu as grandi dans un environnement où être la "victime" permettait d’avoir de l’attention
  • Parfois, c’est juste une habitude pour échapper à tes responsabilités. Ton cerveau a pris le réflexe de tout interpréter comme si le monde était contre toi, ça te permet de te défausser de tes choix et décisions et de te préserver d’être responsable de situations.

Et là, je te le dis franchement : ce n’est pas que tu es faible ou incapable. C’est juste un réel mécanisme de défense inconscient. Mais un mécanisme qui te joue des tours.


Comment ça fonctionne, ce schéma toxique ?

C’est un peu comme un cycle qui se répète :

1. Tu vis un événement difficile.

2. Ton cerveau te souffle : "Ce n’est pas de ta faute, c’est les autres ou la vie."

3. Tu te sens impuissant(e).

4. Tu ressens de la colère, de la tristesse, de l'injustice et/ou tu te résignes.

5. Et tu restes figé(e), sans agir pour changer la situation.

Et là, tu joues contre ton camp. Parce que plus tu restes bloqué(e), plus tu t’épuises, et donc plus tu entretiens notre amitié.

Pourquoi c’est important d’en parler ?

Parce que rester dans ce schéma de victimisation, ça m’aide, moi l’Ami Burnout, à m’installer bien confortablement dans ta vie. Je te rends fatigué(e), frustré(e), et je t’enferme dans un cercle vicieux où tu te sens impuissant(e).
Tu commences à croire que tout est contre toi, que rien ne va jamais s’améliorer, et tu finis par ne plus agir. Ce cercle se resserre lentement autour de toi, te piégeant dans un état où même les petites solutions semblent inaccessibles.
Mais toi, tu as un pouvoir énorme, bien plus grand que tu ne le crois. Il suffit de comprendre ce qui se passe dans ta tête pour reprendre les rênes.


Et je vais te dire une chose, note ceci : tu n’es pas prisonnier·ère de tes pensées.

Quand tu prends conscience de ce mécanisme, quand tu réalises que tu as le pouvoir de choisir comment interpréter les événements, tu récupères ta liberté. Oui, ça demande du courage, de la patience et de la persévérance. Mais chaque petit pas vers la prise de conscience est un pas de plus pour te libérer de ce poids mental. Alors, ne laisse pas ce schéma de victimisation te définir.
Il y a un potentiel immense en toi, et tu peux l’exploiter pour sortir de ce cercle, pour enfin respirer et avancer.


Quels sont les risques pour toi ?

  • Une fatigue émotionnelle constante. À force de te sentir impuissant, tu t’épuises moralement.
  • Des relations qui souffrent. Les gens autour de toi peuvent se lasser de tes plaintes ou de ton inaction.
  • Une estime de toi qui chute. En te voyant comme une victime, tu oublies tes forces et tes capacités.
  • Un burnout renforcé. Parce que ce cycle nourrit le stress et t’empêche d’avancer.


En plus de cela, il y a un risque majeur : l’isolement. À force de focaliser sur ton rôle de victime, tu t'éloignes de ceux qui t’entourent, tu détruis tes relations amicales et sentimentales. Les gens, même ceux qui tiennent à toi, finissent par se lasser. En permanence dans la plainte ou l’immobilisme, tu deviens celui ou celle que l’on n’écoute plus, celui ou celle que l’on ne prend plus au sérieux et que l’on ne fréquente plus.


Et crois-moi, rien ne fatigue plus que quelqu’un qui se pose en victime sans jamais chercher à sortir de cette situation. Cela te laisse dans un état d’incapacité à évoluer, à prendre des décisions qui t’aideraient à t’en sortir.
Au lieu de chercher des solutions, tu restes coincé dans un rôle qui te prive de ta propre évolution, et le cercle vicieux continue à tourner.

Comment te débarrasser de ce biais ?

T’inquiète, on ne va pas le faire disparaître d’un claquement de doigts, mais il existe des clés pour sortir de ce schéma.


1. Prends conscience du mécanisme.
Déjà, commence par te poser des questions :

  • Est-ce que je rejette tout le temps la faute sur les autres ou les circonstances ?
  • Qu’est-ce que je pourrais faire, même à petite échelle, pour améliorer la situation ?

Rien que ça, c’est un bon début.


2. Change ton discours intérieur.
Au lieu de te dire "Je n’ai pas le choix", essaie plutôt :

  • "Qu’est-ce que je peux apprendre de ça ?"
  • "Qu’est-ce que je contrôle ici, même si c’est petit ?"


3. Assume tes responsabilités.
Attention, assumer ne veut pas dire tout porter sur tes épaules. Ça veut dire reconnaître ce que tu peux changer et agir dessus, sans attendre que tout vienne des autres. Vois toujours sous quel angle tu as ta responsabilité dans ce qui t'arrive.


4. Fais la paix avec ce que tu ne peux pas changer.
Il y a des choses que tu ne contrôles pas. Et c’est OK. C’est là que les philosophies comme le stoïcisme peuvent t’aider : concentre-toi sur ce que TU peux influencer.


5. Écris un cahier de gratitude.
Chaque jour, pense à au moins trois petites choses qui vont bien et note les sur un cahier. Ça peut paraître bête, mais ça aide ton cerveau à sortir du mode "tout est contre moi".


6. Cherche du soutien.
Un thérapeute, un coach, un proche de confiance… Parfois, il faut une perspective extérieure pour voir ce que toi, tu n’arrives pas à voir.


Un dernier mot

Tu sais, je ne suis pas là pour te faire du mal. Je suis juste le signal d’alarme qui te dit : "Hey, il y a un truc à changer." La victimisation, c’est un piège, mais tu peux t’en libérer. Pas à pas, en reprenant le pouvoir sur ta vie.

Demande à Olivier de t’aider avec quelques séances en hypnothérapie ou PNL même en visio. Cela te sera d’un grand secours immédiat.


Tu es bien plus fort(e) que tu ne le crois. Alors, si aujourd’hui, tu te sens coincé(e) dans ce “rôle” de victime, fais un premier petit pas.

Ce n’est pas pour moi. C’est pour toi.

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Après ma rencontre avec le Burn-out, et m’être intéressé à tous ses mécanismes, je vous invite à votre tour à faire connaissance avec celui qui pourrait réellement être un “Ami”.

“Lutter contre le Burn-out c’est lutter douloureusement contre vous même.

En faire un allié c’est accepter avec gratitude de vous en libérer...”

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Le blog, les livres et les réseaux sociaux "Burn-out, un Ami qui vous veut du bien" sont rédigés par leur Auteur Olivier PAIRON@2025

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