"Vous pouvez échouer dans ce que vous ne voulez pas, alors autant tenter votre chance en faisant ce que vous aimez" Jim Carrey
Je me souviens encore de la première fois où Jim Carrey m’a parlé de son épuisement. À cette époque, pour tout le monde, il était l’incarnation même de la réussite à Hollywood – un acteur qui enchaînait les succès, un comédien hilarant capable de transformer n’importe quelle salle en un espace de rires incontrôlables. Mais ce que peu de gens voyaient, c’était l’homme derrière le masque, celui qui commençait à se sentir englouti par le personnage public de « Jim Carrey ».
Un de ses "problèmes" est que Jim a toujours été un perfectionniste, quelqu’un qui s’investissait pleinement dans son travail, à tel point qu’il avait souvent du mal à faire la distinction entre ses rôles et lui-même. Il disait : « Je ne peux plus supporter d’être "Jim Carrey".
Ce qu’il voulait dire, c’est qu'il se sentait prisonnier de cette image, cette personne que tout le monde adorait mais qui, petit à petit, l’éloignait de son vrai "moi".
À l'époque, il était souvent exténué, mentalement et émotionnellement, et ce poids commençait à le ronger de l'intérieur.
Je me souviens particulièrement d'une interview qu'il a donné après le tournage de The Truman Show (1998). C'était un rôle important pour lui, à plus d'un titre. Il voyait ce film comme une métaphore de sa propre vie.
« Je me sens comme Truman», m’a-t-il dit. « Tout est un spectacle, et je suis pris au piège dedans».
C’est là qu'il réalisé que ce n’était pas juste une fatigue passagère, mais une véritable recontre avec moi, l'Ami Burn-out.
Il a ensuite commencé à parler plus ouvertement de moi son Ami Burn-out (et de la dépression) qu’il suppportait depuis plusieurs années.
Au début, Jim essayait de se débrouiller seul, mais il a finalement décidé de prendre des antidépresseurs. « Ils m’ont aidé à tenir » disait-il, « mais ce n’était pas la solution à long terme. Ça ne m’aidait pas à voir la réalité en face ». Je lui confirmais celà, ça ne serait pas une solution à long terme.
À un moment donné, il a décidé d’arrêter les médicaments et d'explorer d'autres voies pour retrouver la paix intérieure, notamment à travers la méditation, l'hypnothérapie et étonnamment pour beaucoup, la peinture.
Je l’ai vu plonger dans l’art avec une intensité nouvelle. Ses toiles étaient un moyen de se libérer, de s'exprimer sans avoir à répondre aux attentes d’un public.
« La peinture m’a sauvé » m’a-t-il confié un jour. Moi je savais que ce serait une des raisons de notre séparation oui.
« C’est une façon de me reconnecter à moi-même, loin du chaos d’Hollywood»
Jim peignait pour évacuer toutes ces émotions qu’il avait dû réprimer pendant des années. C’était son exutoire, une des façons de se débarasser de moi, son Ami Burn-out.
Au-delà de l’art, Jim a aussi commencé à se pencher sur des questions plus spirituelles. Il pratiquait souvent de la méditation et la manière dont elle l’aidait à trouver un équilibre intérieur.
Il disait que moi le burn-out je venais de l'ego, de cette partie de vous qui cherche constamment à répondre aux attentes des autres et à être « quelqu’un ». Il était sur une bonne piste.
« Quand tu t’épuises, c’est ton corps qui te dit que tu n’es plus aligné avec toi-même».
J'étais fier de lui, il commençait à comprendre une des leçons de ma présence à ses côtés, c’était une prise de conscience importante pour lui.
Jim a toujours été une âme profonde, mais c’est à travers ces périodes passées ensemble qu’il a vraiment commencé à creuser pour trouver un sens à sa vie au-delà de la célébrité.
Je l’ai vu (et aidé) à se transformer, passer d’un homme constamment surmené, essayant de satisfaire tout le monde, à quelqu’un qui était enfin prêt à mettre ses propres besoins et son propre bien-être au premier plan.
Il a appris à dire non, à prendre du recul quand il en avait besoin, et à se concentrer sur ce qui comptait vraiment.
Aujourd’hui, Jim parle ouvertement de notre relation et "complicité", non pas comme un signe de faiblesse, mais comme une expérience humaine essentielle.
Il veut que les autres sachent qu’il est possible de passer à travers ces périodes sombres (avec l'Ami Burn-out) et de retrouver la lumière, même si cela signifie réévaluer toute sa vie.
En tant qu’ami, j’ai vu Jim dans ses moments les plus hauts et les plus bas, et je peux dire avec certitude que ce qu’il a traversé (avec moi son Ami Burn-out) a fait de lui une personne encore plus authentique, plus consciente de ce qui est vraiment important.
Il n'est plus juste « Jim Carrey, la star du cinéma », mais Jim Carrey, l'homme, qui a compris que le succès extérieur n’a aucune valeur sans la paix intérieure.
Depuis Jim raconte que son histoire, son expérience avec moi (et la dépression), n’etait pas unique.
« Beaucoup de gens vivent cela » admet-il.
« La différence, c'est que je suis prêt à en parler, parce que si ça peut aider une seule personne, alors ça en vaut la peine »
Et toi ? es tu prêt(e) à en parler maintenant ?
Après ma rencontre avec le Burn-out, et m’être intéressé à tous ses mécanismes, je vous invite à votre tour à faire connaissance avec celui qui pourrait réellement être un “Ami”.
“Lutter contre le Burn-out c’est lutter douloureusement contre vous même.
En faire un allié c’est accepter avec gratitude de vous en libérer...”
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