Les biais cognitif dans le Burnout. Malgrè toi !

"Ce n'est pas ce que nous voyons qui nous trouble, mais ce que nous croyons voir." – Epictète

Salut Toi !

C’est moi, ton fidèle compagnon de galère, l’Ami Burnout. Toujours là pour te rappeler que, malgré tous tes efforts, tu galères encore. Pas besoin de faire semblant, je vois tout. Ton cerveau tourne à plein régime, tes pensées dansent la samba de l’épuisement, et tes émotions ? Un véritable feu d’artifice.

Bref, tu vas bien… mal.

Aujourd’hui, j’ai décidé de jouer cartes sur table. Pas de pitié. On va parler des biais psychologiques qui te maintiennent en état pour que notre amitié se renforce. Ces petits malins que ton cerveau adore et qui te tirent vers le bas sans même que tu t’en rendes compte. Et spoiler : ils t’aiment autant que moi. Mais moi, au moins, j’ai l’élégance de te le dire en face.

Ah, sarcasme, moi ? Mais non (LOL). Je suis juste là pour te bousculer un peu.

Parce que franchement, si je t’écoutais, on serait partis pour un marathon illimité de fatigue et d'auto sabotage, alors que moi je suis là pour t’aider.

Regardons cela ensemble !

1. Le biais de confirmation

« Je suis nul(le), tout le monde me déteste, et je vais finir par ruiner ma vie entière. »

- Oh mais oui, bien sûr, tu cherches tout ce qui confirmera ça ! Le petit regard de travers de ton collègue ? Il te déteste. Ce mail sans emojis ? Une preuve irréfutable que t’es un échec ambulant. Bravo Sherlock, continue comme ça !

2. L'auto-complaisance négative

« C’est ma faute si tout part en vrille. Les rares trucs bien, c’est un coup de bol, évidemment. »

- Bien joué, champion(ne). Chaque fois que tu réussis quelque chose, c’est pas grâce à toi, hein ? Et par contre, chaque souci, c’est direct ta faute. Franchement, cette modestie excessive, c’est presque impressionnant.

3. L’attention sélective

« Oh tiens, encore un truc que j’ai pas réussi à faire ! »

- Mais oui, concentre-toi sur tes échecs, c’est tellement plus fun. Ignore tout ce que tu fais bien, c’est ta spécialité. T’es comme un détecteur de problèmes. Si c’était un sport, t’aurais la médaille d’or.

4. Le biais d’ancrage

« Cette fois où j’ai pas réussi à boucler un dossier à temps ? Voilà, c’est ça ma vie. »

- Parce que oui, une seule erreur suffit pour définir toute ton existence. Une petite bourde en 2018 et hop, te voilà marqué(e) à vie. Sérieusement, t’as jamais pensé à lâcher un peu le passé ?

5. L’effet de négativité

« Une critique annule tout compliment. »

- Ah, celui-là, c’est mon préféré. Un compliment ? Pfou, ça glisse sur toi. Mais une remarque négative ? Tu la chéris comme si c’était une déclaration d’amour. C’est beau, cette fidélité.

6. Le biais de contrôle

« Tout dépend de moi. Si je lâche, tout s’effondre. »

- Ah oui, toi, t’es superman ou wonder woman. Le poids du monde repose sur tes épaules. Ou alors, c’est l’inverse : « Je contrôle rien, c’est foutu. » Décide-toi, mais dans tous les cas, je reste !

7. L’habituation au stress

*« C’est normal d’être sous pression tout le temps, tout le monde vit comme ça, non ? »*

- Bien sûr, qui a besoin de sommeil ou de plaisir dans la vie ? Le stress, c’est ta nouvelle normalité. Si ça va trop bien, t’es presque déçu(e), avoue.

8. La sur-généralisation

« J’ai raté ce projet, donc je rate tout dans ma vie. »

- Wow, quelle logique implacable. Une erreur = t’es un(e) loser à vie. T’as envisagé d’être un peu moins dramatique ou c’est trop demandé ?

9. L’effet tunnel

« Il faut que je termine cette tâche, quitte à mourir dessus. »

- Et voilà, tu te focalises tellement sur une seule chose que t’oublies tout le reste. Mange ? Pas le temps. Dormir ? Pas besoin. T’as raison, creuse encore plus, le tunnel est infini !

10. La comparaison sociale

« Regarde les autres, ils gèrent tout tellement mieux que moi. »

- Bien sûr, les autres ont des vies parfaites. Instagram te le prouve. Et toi, pauvre mortel(le), tu luttes à peine pour te lever. C’est beau, continue de te comparer à des illusions.

11. L’impuissance apprise

« À quoi bon essayer ? Ça changera rien. »

- Ah, la grande résignation. T’es tellement coincé(e) que tu te dis : « Autant rester là et attendre que tout s’écroule. » C’est mignon, mais pas très efficace.

Et maintenant, tu fais quoi ?

Bon, là, je te vois en train de te dire : "Ok, d'accord, t’as bien raison, j’ai peut-être un peu tendance à voir la vie à travers des lunettes noires." Alors, qu’est-ce que tu vas faire maintenant ? Rester là, à me laisser te guider dans cette spirale infernale, ou “prendre les choses en main” et faire en sorte que ces biais n’aient plus aucune prise sur toi ?

Tu sais, Olivier connaît bien le sujet sur le burnout et la surcharge mentale, il peut t'aider à t’en sortir. Il utilise des outils puissants, comme la Programmation Neuro-Linguistique (PNL) et l'hypnose, pour reprogrammer ton esprit, t’aider à changer ta vision des choses, et surtout à casser ces biais qui te tiennent prisonnier.

Avec la PNL, il va t'aider à décoder tes pensées et à transformer ce que tu crois être des vérités immuables (comme "je suis nul(le)", "je n’arriverai jamais à rien") en croyances constructives et positives.

Et l’hypnose, ça va permettre à ton inconscient de réduire ton stress, de rééquilibrer tes émotions, et d'arrêter de nourrir ces pensées qui te font encore plus mal.

Alors, pourquoi rester coincé(e) dans ces schémas mentaux ? Contacte Olivier maintenant. !

Bisous sarcastiques,

Ton Ami Burnout.

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Après ma rencontre avec le Burn-out, et m’être intéressé à tous ses mécanismes, je vous invite à votre tour à faire connaissance avec celui qui pourrait réellement être un “Ami”.

“Lutter contre le Burn-out c’est lutter douloureusement contre vous même.

En faire un allié c’est accepter avec gratitude de vous en libérer...”

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